Néosanté, la revue indépendante et pleine de vérités !
- Posted by Gregory Pelletier
- Date 31 août 2021
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Voici un article très intéressant publié dans néosanté.
Il relate d’une expérience, qui prouve que les virus et bactéries ne sont pas les méchants tueurs, ce n’est pas aussi simple !
Nous sommes en novembre
1918. La grippe espagnole ravage le monde et un médecin militaire et
infectiologue américain, Milton Joseph Roseneau, a la brillante idée de
vérifier que la maladie se transmet bien d’être humain à être humain. Pour ce
faire, il recrute 68 volontaires dans les rangs de l’US Navy, en réalité des
marins détenus dans un centre pénitentiaire près de Boston et à qui l’on fait
miroiter une remise de peine. À cette époque, on croit que la pandémie est
provoquée par le même agent infectieux que la précédente à la fin du 19ème siècle,
à savoir le bacille de Pfeiffer ou Haemophilus Influenza. Le
lieutenant Roseneau fait donc inoculer des cultures de ce virus aux
prisonniers mais il constate qu’ils ne tombent pas malades. Qu’à cela ne
tienne, il fait collecter chez des grippés toutes sortes de sécrétions
corporelles (écoulement nasal, mucus prélevé dans la gorge et même
crachats) et ordonne qu’on les asperge sur le visage des volontaires,
ainsi que dans leurs narines et leur bouche. Nouvel échec car 10 jours plus tard,
aucun d’entre eux ne manifeste le moindre symptôme. Aux grands maux leurs
grandes causes présumées, l’infectiologue fait alors conduire 10 détenus au
chevet de 10 malades et demandent aux premiers de serrer la main et de
respirer l’haleine des seconds. Ceux-ci sont même incités à cracher à la
figure des marins cobayes, à nouveau sans que grippe espagnole s’ensuive. Très
honnêtement, le médecin étasunien en conclura qu’il n’était pas possible de
démontrer la transmissibilité de la maladie entre patients atteints et
personnes en bonne santé. Ces « expériences de Roseneau » ne sont pas
faciles à retrouver sur le web mais j’ai fini par les dénicher et vous pouvez
en lire le compte rendu en cliquant ici. Le toubib militaire, qui sera plus tard parmi les fondateurs de la
prestigieuse école de santé publique de Harvard, n’est pas le seul à avoir
tenté de prouver la contagiosité interhumaine du terrible fléau viral. Un autre
scientifique américain, un certain Edwin Jordan, a diligenté 5 autres
études qui ont fait également chou blanc à l’époque. Je n’ai pas retrouvé la
source originale mais ces travaux ont été mentionnés dans un article du Virology
Journal en 2008. Cette publication est du
reste très intéressante car elle suggère que, bien davantage que la circulation
d’un virus de toute façon ubiquitaire, le statut en vitamine D et
la vigueur immunitaire sont les principaux facteurs prédictifs des épidémies
grippales. Il y a 12 ans, on savait déjà comment endiguer efficacement les
viroses saisonnières comme celle qui terrifie le monde actuellement !
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C’est vraiment une vocation pour moi d’accompagner mes clients vers
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